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Brevet des collèges, baccalauréat, soutenance d’études supérieures… C’est la période des examens de fin d’année ! Selon la personnalité de l’enfant, ce passage nécessaire peut s’avérer une grande source de stress, mettant la famille à rude épreuve ! Voici quelques conseils pour l’aider à traverser cette étape de sa vie dans la sérénité…

De l’énergie dans son assiette

L’alimentation joue un vrai rôle dans la gestion du stress, notamment durant les périodes intenses des examens. Ainsi, incitez votre enfant à privilégier une alimentation équilibrée, déjà plusieurs semaines avant les examens. On évite les excitants, comme les boissons à base de caféine ou les sodas, qui stimulent sur le moment mais déséquilibrent aussi le système nerveux, et on favorise les boissons apaisantes, comme la tisane ou l’eau citronnée par exemple, riche en vitamine C. Certains aliments sont tout à fait adaptés au période d’examens, tels que les pâtes et céréales complètes, pour éviter les coups de pompe, ou encore les poissons gras ou les graines de sésame, qui agissent sur la régulation du système nerveux. Enfin, on laisse bien sur de la place pour des petits plaisirs, bien mérités dans cette période intense !

Des exercices de respiration, magiques contre le stress

La respiration est notre première source d’énergie et en même temps un facteur d’apaisement. Il est donc essentiel de bien respirer, une chose qui contrairement à ce que l’on peut croire, n’est pas forcément naturelle. De plus, devant une montée de stress importante, par exemple lorsque l’on se retrouve face à son sujet d’examen, ou encore avant un oral, le fait de faire des exercices de respiration est un moyen réellement efficace de faire redescendre la pression. Vous pouvez par exemple lui proposer ce type d’exercice de respiration ventrale : Invitez votre enfant à placer sa main gauche sur le ventre et sa main droite au bas du dos. Il doit expirer par le nez pendant que sa main gauche appuie sur le ventre et que sa main droite contrôle que son dos ne s’arrondit pas trop. Ensuite, il inspirera par le nez en gonflant son ventre. Quand il maîtrisera cet exercice, il pourra relâcher ses bras le long du corps et essayer d’allonger son expiration. C’est sur ce dernier temps qu’on se détend le plus !

Des mots pour l’aider à relativiser

Quand on y réfléchit bien, la première source de stress à l’approche d’un examen, c’est le manque de confiance en soi. C’est le manque de confiance en ses capacités à réussir, et donc la peur d’échouer. Ainsi, la meilleure manière de l’aider, en tant que parent, c’est de croire en lui, sincèrement et simplement.

  • Par la pensée positive : Son stress est lié à l’évaluation qu’il fait de sa situation. Une manière de le déjouer consiste à repérer sa pensée négative tel que “Je suis nul ”, et de l’aider à la substituer à une autre pensée telle que “ Qu’est-ce que je pourrais penser d’autre de la situation ? Qu’est-ce que je pourrais quand même faire ? ” Cela lui permettra de dévier le stress, de le réorienter sur une piste plus positive.

  • Par l’encouragement : Agir sur le stress, c’est surtout agir sur l’estime de soi de son enfant. Ainsi, encouragez-le, même quand il fléchit, valorisez ses réussites, revoyez avec lui le chemin parcouru, et relevez à chaque étape ce qui a été positif, même si le résultat scolaire n’est pas à la hauteur de vos espérances. Votre bienveillance va être précieuse pour lui durant cette période.

  • Par la prise de recul : Souvent, à cause du stress, nous évaluons mal les situations. Emportés par nos émotions, certains contextes nous font perdre toute rationalité ! C’est ce que vit votre enfant face à l’approche d’un examen. Ainsi, aidez-le à changer de regard et à prendre du recul. Vous pouvez par exemple pour cela lui expliquer ce qu’il se passe dans son cerveau : Lorsqu’il est confiant, il mobilise un bon stress, stimulant et énergisant. Mais à l’inverse, s’il pense qu’il va échouer, il mobilise un mauvais stress qui lui fait perdre ses moyens. C’est physiologique: son cerveau est saturé par l’hormone du stress, le cortisol. Elle lui interdit l’accès à sa mémoire de travail, même s’il a bien révisé !

Bon courage à tous !

Source : https://www.santemagazine.fr/

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