Suivez-nous:                        
Open/Close Menu DU 21 AU 23 SEPTEMBRE 2018 AU CHÂTEAU DE FLAUGERGUES À MONTPELLIER



Si vous en avez marre des punitions qui ne fonctionnent plus du tout sur votre bambin, il est temps d’essayer d’autres techniques… Alors exit les menaces verbales, passez à la méthode douce ! Car punir sans punir, c’est possible !

Agir en amont

Quand un bébé fait son premier sourire, ses premiers pas, on l’applaudit, on l’encourage. Et c’est ce qu’il faut continuer à faire lorsqu’il grandit ! Ne relevez que le positif et valorisez ce qu’il fait de bien. Il est toujours possible d’apprendre à un enfant à gérer ses émotions. Ainsi, en favorisant un nouveau comportement, en lui montrant qu’on est fier de lui, il verra les bénéfices de son changement d’attitude. Punir ne sert à rien. Ça ne fait que stopper un mauvais comportement mais ça n’évite pas la récidive, exactement comme la prison. Pour ne pas avoir à punir son enfant, il faut développer très tôt son sens de l’empathie et des valeurs. C’est le fameux “je ne fais pas aux autres ce que je ne n’aimerais pas qu’on me fasse ».

Le tableau de comportement : très efficace chez les petits

Pour autant, lorsqu’un enfant dépasse les limites que vous avez fixées, il faut agir. Utilisable à tout âge, le tableau de comportement est particulièrement efficace pour les 3 à 5 ans. Le principe : s’il fait pipi au lit ou mord ses camarades d’école, on crée une case pour chaque problème. Lorsqu’il n’aura pas mouillé ses draps ou embêté ses copains, on colle une gommette dans la case correspondante. Au bout de dix autocollants, il reçoit une petite récompense. Cela lui permet de visualiser les conséquences positives de ses actes.

Voici un exemple ici : Tableau de renforcement positif

Le temps calme : une minute par année d’âge

On oublie les “ au coin “ ou “ file dans ta chambre “ et on lui demande plutôt de faire un temps calme. Pendant celui-ci, on l’encourage à respirer profondément, cela permettra autant à vous qu’à lui de prendre du recul sur la situation. L’objectif : positiver, et cela passe essentiellement par le langage. En effet, dans ce cas-là, on ne le punit pas mais on lui apprend à se calmer, et cela lui servira tout au long de sa vie ! Pour déterminer la bonne durée, une psychiatre conseille de se baser sur une minute par année d’âge.

Restez réaliste

En le privant de quelque chose qui lui tient à cœur (promenade au parc, partie de foot, sortie avec les copains…), on marque l’esprit de l’enfant. Mais à ce sujet, la bonne punition, c’est celle qu’on arrive à tenir ! En effet, lorsque l’on prive un ado d’écrans pendant deux semaines, on ne tient jamais. Ainsi, il vaut mieux être court et efficace pour que notre parole soit valide. Avec les adolescents, il faut avant tout fixer des règles que l’on respecte, et le prévenir en amont de la sanction à laquelle il s’expose. Tu as séché les cours ? Tu as rompu le contrat, donc je ne te laisserai pas sortir vendredi. Point ! Cette structuration est essentielle pour sa construction.

Pour aller plus loin, retrouvez ici 10 alternatives à la punition.

Source : http://www.magicmaman.com

ACHETEZ VOTRE PASS DU FESTIVAL

ABONNEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER

    Nom (obligatoire)

    Prénom (obligatoire)

    Email (obligatoire)

    Code postal (obligatoire)

    One Trackback

    1. […] tout simplement ressentir de la honte et de l’humiliation. C’est encore plus vrai lorsque la punition est infligée en public. De ce fait, l’enfant ne sera pas en mesure d’écouter si par la suite […]

    Write a comment: